Apple a été critiquée ces derniers mois pour ses politiques strictes en matière d’approbation d’applications et de mise en ligne sur iTunes. Nous nous souvenons tous de la façon dont Apple ne voulait pas que les développeurs utilisent le mot « Android » dans les descriptions de leurs applications. L’entreprise ne permet pas non plus aux applications pour adultes de faire leur chemin sur iTunes. Il n’y a donc aucun doute qu’Apple est aussi contrôlante que n’importe quelle autre entreprise lorsqu’il s’agit de protéger son écosystème de produits et sa marque. Mais Apple abuse-t-elle de son pouvoir et interdit-elle des applications développées par ceux qui la critiquent ?
Michael Wolff, un chroniqueur de Vanity Fair, a réalisé cela de manière dramatique. Il a écrit un article sur la façon dont Steve Jobs, le PDG d’Apple, pourrait perdre pied lorsqu’il s’agit de garder la pornographie hors de l’iPhone. Cet article est-il revenu le mordre où cela fait le plus mal ? Après tout, comment expliquer que son application ait été rejetée par Apple ? Il est tout à fait possible que l’application de Michael ait été rejetée par erreur. Steve Fiore a dû ressoumettre son application. Cela pourrait très bien être le cas cette fois-ci également.
L’image suivante montre les politiques d’Apple en matière d’applications : 
Devrait-on permettre à Apple d’interdire des applications développées par ceux qui critiquent le PDG d’Apple ? La réponse simple est non. Apple ne fonctionne peut-être pas comme une démocratie, mais en même temps, il n’y a aucune justification à garder des applications parfaitement légitimes loin d’iTunes. Le problème est qu’il est difficile de déterminer si Apple punit Michael ici. L’entreprise a fait des erreurs par le passé, only pour y remédier plus tard.
Le système fermé d’Apple permet à l’entreprise de contrôler la qualité et de apporter les applications qu’elle juge bonnes sur iTunes. Cela signifie bien sûr que de nombreuses applications ne font jamais leur chemin sur iTunes. Cela ne signifie pas que Apple est hors pour obtenir les personnes derrière ces applications. Apple a-t-elle fait des choses peu lumineuses par le passé ? Absolument. Je ne suis simplement pas sûr que ce soit l’un de ces cas.